Plasticienne, ma pratique se tourne vers la mémoire individuelle et principalement ses blancs, les questions de la dualité et de l’altérité.
Particulièrement inspirée par les cases vides et les non-dits, je les retranscris de façon plus ou moins implicite, essayant de donner de la matière à l’absence.
Le « tu » inconnu prend plusieurs visages — ou fragments de ces derniers — et de son caractère autobiographique naît une fiction, un doute.